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Infection ou allergie – comment faire la différence ?

Nez bouché, yeux larmoyants, toux, nez qui coule, gorge irritée et température parfois élevée… Nous avons probablement tous dû faire face à ces maux. Tous les symptômes correspondent au rhume ou à une infection saisonnière, ainsi qu’aux allergies.

Bien que ces signes soient similaires pour ces deux maladies, un traitement efficace doit être complètement différent pour traiter chaque cause. Il existe plusieurs différences entre infection et allergie qui peuvent nous donner des indices, mais le diagnostic final doit toujours être confié à un médecin.

Allergie – Quel est le mécanisme derrière leur développement ?

Les réactions allergiques sont le résultat d’un système immunitaire défaillant qui reconnaît incorrectement l’ennemi et produit des anticorps lorsqu’une partie d’une substance normalement inoffensive, comme le pollen, pénètre dans le corps.

Après avoir traité avec cet “intru”, il y a encore des anticorps dans le sang qui sont prêts à se battre en cas de nouvelle attaque. Au moment de leur rencontre, la membrane cellulaire est perturbée, provoquant la fuite de substances telles que l’histamine, et une inflammation se produit dans le corps, ce qui entraîne les symptômes typiques des allergies et du rhume, à savoir la toux, le nez qui coule ou une gorge irritée.

Il existe de nombreuses théories sur les causes des réactions allergiques de plus en plus répandues. Les facteurs santé principaux sont les liaisons génétiques, la pollution de l’environnement, l’effet de prendre plus d’antibiotiques qu’auparavant et … une attention excessive à l’hygiène.

Infection – Qu’est-ce qui est responsable de sa formation?

Le plus souvent, une infection, un rhume, est l’un des nombreux virus ou bactéries qui peuvent nous infecter par contact avec une personne infectée ou par inhalation d’un agent infectieux présent dans l’air.

Le virus provoque des symptômes similaires à ceux d’une réaction allergique, c’est-à-dire écoulement nasal, toux, faiblesse, parfois fièvre ou sensibilité et larmoiement. Les infections virales nous frappent surtout en automne ou en hiver. Les symptômes durent généralement plusieurs ou plusieurs jours. Si vous avez affaire à une infection virale, le traitement consiste le plus souvent à prendre des anti-inflammatoires, des antipyrétiques, des gouttes nasales, des comprimés pour apaiser une gorge irritée, c’est-à-dire des préparations qui atténuent les symptômes de l’infection. S’il s’agit d’une infection bactérienne, le médecin prescrira le plus souvent des antibiotiques.

Rhume ou allergie ? Faites les différences !

  • Durée des symptômes – La période pendant laquelle les symptômes durent est l’une des différences fondamentales entre le rhume et l’allergie. Les infections ne durent généralement pas plus de deux semaines. L’allergie dure toute la période de contact avec l’allergène. S’il s’agit, par exemple, de pollen, cela peut être même plusieurs mois par an. Bien que la différence semble évidente, les infections virales ou bactériennes récurrentes peuvent légèrement fausser le diagnostic. Une autre différence est la période de l’année. Les symptômes d’allergie s’aggravent le plus souvent au printemps et en été. Nous subissons généralement des infections bactériennes ou virales en automne et en hiver.
  • Toux – Dans le cas d’allergies, elle ne se produit pas toujours, mais elle est généralement sèche et provoque une sensation d’étouffement. À l’inverse, la toux avec infection est plutôt humide, avec des crachats de mucus, surtout après quelques jours.
  • Nez qui coule – En cas d’infection, un nez qui coule disparaît généralement au bout de quelques jours, parfois au bout d’une semaine. Les sécrétions nasales sont de couleur verdâtre ou jaunâtre. Le plus souvent, il s’épaissit au bout de quelques jours et finit par disparaître. De son côté, la rhinite allergique est plutôt aqueuse et incolore pendant toute la durée du contact avec l’allergène. Le nez qui coule est souvent accompagné de démangeaisons du nez et des yeux.
  • Augmentation de la température – Si les symptômes susmentionnés s’accompagnent d’une fièvre supérieure à 37-38 degrés, cela indique plutôt une infection bactérienne ou virale. L’allergie est rarement accompagnée d’une température élevée (le cas échéant, légèrement), mais ce n’est pas une règle stricte.

Si les symptômes réapparaissent et sont gênants, il convient de demander à un médecin généraliste qui orientera le patient vers un examen approprié ou un autre spécialiste, par exemple un allergologue, de déterminer l’origine du problème. Un bon diagnostic permet avant tout la mise en place d’un traitement adapté au problème et permet ainsi de lutter plus efficacement contre le problème.

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Qu’est-ce que les flavonoïdes ?

Afin d’assurer le bon état de notre santé, nous devons régulièrement apprendre ce qui est bon pour notre organisme. Grâce à cela, nous pouvons combattre plus efficacement les agents pathogènes que nous ne voulons pas dans nos vies. Aujourd’hui, nous allons aborder la définition des flavonoïdes. Que se cache-t-il derrière ce terme et où se les procurer ? Lisez la suite de cet article.

Définition

Les flavonoïdes sont des composés chimiques organiques que l’on trouve, entre autres, dans les plantes. Ils les protègent contre les ravageurs et les champignons qui détruisent efficacement la structure de la tige et des feuilles. Les flavonoïdes des plantes sont également responsables de la protection contre les rayons ultraviolets.

Chaque individu a besoin d’une alimentation variée pour fonctionner correctement. Il est recommandé de manger 400 grammes de fruits et légumes tout au long de la journée. Grâce à cela, nous obtenons des vitamines et des minéraux précieux – y compris des flavonoïdes.

Actuellement, les scientifiques ont reconnu environ 8 000 types de flavonoïdes. Ces éléments ont été distingués pour la première fois en tant que vitamine P en 1930. Tout cela à cause de leur effet pro-santé pour notre corps.

Quels sont les effets des flavonoïdes ?

Les flavonoïdes ont une variété d’effets. Selon la plante que nous mangeons, elle sera plus ou moins intense. Les scientifiques ont découvert que les flavonoïdes ont un effet antioxydant très puissant. Ceci est utile, entre autres, pour combattre tous les radicaux libres. La recherche montre que les flavonoïdes améliorent les effets de la chimiothérapie.

La vitamine P est également anti-inflammatoire et anti-allergique. C’est un excellent traitement de fonds, en particulier pour les personnes qui souhaitent soutenir leur corps lors d’une infection. Ces traitements naturels évoqués sur ce site sont certainement une forme plus bénéfique de lutte contre les bactéries. Ils sont efficaces et sans danger pour notre estomac.

D’autre part, les flavonoïdes ont des propriétés anti-athérosclérotiques. Ceci est important pour les personnes qui ont un taux de cholestérol élevé. Il est important de prendre régulièrement soin du niveau de plaque athérosclérotique dans notre corps. Grâce à cela, vous évitez, entre autres, les crises cardiaques.

Comment les utiliser ?

En moyenne, nous devrions consommer 100 à 1000 mg de flavonoïdes par jour. Une concentration élevée de flavonoïdes peut être trouvée dans l’alimentation notamment dans les :

  • Oignons
  • Tomates
  • Brocolis
  • Artichauts
  • Poivrons
  • Agrumes
  • Cerises
  • Fraises
  • Cassis
  • Pomme.

On peut aussi apprécier l’apport de vitamine P par les plantes et s’en procurer chaque jour avec une infusion de thé (1 mg / ml).

Par ailleurs, il est possible d’appliquer des flavonoïdes sur la peau. Cela vaut la peine de le faire, car ils aident principalement à protéger contre le rayonnement solaire excessif. Si vous le souhaitez, vous pouvez fabriquer des crèmes hydratantes simples avec une protection UV relativement efficace. Pour cela, vous aurez besoin d’huile de coco, d’huile de macadamia, d’amandes douces, de pépins de framboise, de vitamine E et de quelques feuilles de menthe. Faites chauffer l’ensemble à une température d’environ 70° degrés Celsius pendant 30 minutes avant de faire pénétrer la solution huileuse sur votre peau.

Quels sont les dangers des flavonoïdes ?

Les flavonoïdes sont nos alliés dans la lutte contre les maladies. C’est aussi une excellente forme de prophylaxie qui nous protégera contre une évolution sévère de l’infection.

Les femmes enceintes doivent surtout faire attention aux flavonoïdes. La recherche montre qu’ils peuvent entraîner une rupture de l’ADN. Cela conduit à une leucémie aiguë chez le fœtus. Vous devriez toujours consulter votre alimentation avec un gynécologue qui vous décrira exactement ce que vous devez manger et ce qu’il vaut mieux éviter.

Toutefois, c’est toujours une bonne idée de manger beaucoup de fruits et légumes frais. Grâce à cela, vous pourrez fournir à votre corps les nutriments nécessaires. Cela vaut la peine de commencer votre enrichissement avec une alimentation saine au printemps. C’est le moment où vous pouvez vous approvisionner vous-mêmes en plantes de saison, ce qui non seulement nous donnera la santé, mais vous aidera également à maintenir un organisme en pleine santé.

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Vous avez un phasme dans votre salon?

Les phasmes sont des insectes diurnes, petits et légers, qui ont une apparence proche de celle des araignées. Ils sont très communs dans les campagnes, et ils entrent parfois en contact avec le grand public. Il est possible de prendre contact avec eux, mais il est essentiel de se conformer à certaines règles de base afin d’élever un phasme en captivité dans un terrarium.

Ce qu’il faut savoir pour aménager un terrarium pour un phasme

Les phasmes sont des insectes très actifs qui ont besoin de lumière, de chaleur et d’un environnement propre et sec. Le phasme est un animal qui respire par sa peau, de sorte qu’il doit être en contact avec une surface plane (de la mousse ou du papier par exemple) pour pouvoir absorber l’air. Lorsque leur habitat est convenablement aménagé, les phasmes peuvent vivre jusqu’à 2 ans.

Le terrarium

Pour maintenir un phasme en captivité, il faudra un terrarium fermé, de type aquarium ou boîte de matchs. Si vous choisissez un terrarium de matière plastique, il est important de bien le nettoyer avant d’y placer votre phasme.

L’environnement

Le phasme vit généralement dans des habitats naturels très sombres et humides. Pour reproduire cet environnement, choisissez un endroit dans votre terrarium qui reste dans l’obscurité la plus totale, l’idéal étant une caissette dans le fond du terrarium. Placez ensuite une mousse synthétique ou un papier absorbant sur les parois intérieures de votre terrarium afin que le phasme puisse y grimper et y s’accrocher. Il est préférable d’utiliser du papier car la mousse synthétique pourrait être trop dure pour les pattes du phasme à force de se promener dessus.

Pourquoi des mètres de papier plutôt que de la mousse synthétique ?

Dans leur habitat naturel, les phasmes utilisent beaucoup de matériaux pour se construire une sorte de nid. Le papier va donc leur permettre de continuer à faire ce qu’ils font dans la nature.

L’arrosage

Pour les arroser, vous pouvez utiliser un petit vaporisateur d’eau que vous leur balaierez sur le dos. Le problème avec l’eau est qu’il faut que le phasme soit bien sec pour retourner s’accrocher aux parois. Un autre moyen d’arroser le phasme est de lui donner un bain dans une petite bassine d’eau.

L’alimentation

Les phasmes sont des insectivores et se nourrissent essentiellement de petites proies vivantes, mais aussi de larves ou de petits insectes. Leurs préférences alimentaires dépendent beaucoup de l’espèce et du lieu où ils sont capturés. Certains apprécient les vers et les larves de moustiques, d’autres les fourmis, les mouches et les arachnides. Ils peuvent aussi s’alimenter de petits oiseaux ou d’autres lézards.

Les phasmes sont des carnivores qui se nourrissent essentiellement de petites proies vivantes, mais aussi de larves ou de petits insectes. Leurs préférences alimentaires dépendent beaucoup de l’espèce et du lieu où ils sont capturés.

Lorsque le phasme est sorti de sa cage, la première chose à faire est de se débarrasser de tous les insectes qu’il pourrait y trouver. Les phasmes aiment tout particulièrement les mouches, les moustiques et les fourmis. Il faut donc se débarrasser de ces insectes, et donc des mouches qui pourraient être dans la maison.

Comment on découvre un phasme dans le jardin?

Au jardin, le phasme se cache souvent dans les herbes ou sur les troncs d’arbres. On peut parfois le rencontrer dans les buissons.

Pour trouver son phasme, il faut chercher avec soin un endroit où il pourrait être. Il faut se méfier des endroits qui sont dans l’ombre, car les phasmes sont frileux et aiment le soleil. Si le phasme est pris au piège, il va s’agiter avec frénésie pour essayer de se dégager de la cage.

Quelles sont les spécimens de phasme en France?

S’il y a plusieurs centaines d’espèces de phasme en France, toutes ne sont pas présentes dans le jardin. On trouve surtout le phasme à épines, le phasme épineux et le phasme commun.

Le phasme à épines :

le phasme à épines est brun avec des poils verts. Il mesure environ 10 cm et a une forme ovale. Il se nourrit d’insectes ou de petites proies vivantes comme les escargots.

Le phasme épineux :

le phasme épineux est brun avec des poils verts. Il mesure environ 10 cm et a une forme ovale. Il se nourrit d’insectes ou de petites proies vivantes comme les escargots.

Le phasme commun :

Le phasme commun est gris clair avec des poils blancs. Il mesure environ 10 cm et a une forme ovale. Il se nourrit d’insectes.

Quels sont les dangers du phasme?

Les phasmes ne sont pas dangereux pour les humains. Cependant, ils sont capables de piquer pour se défendre. Si vous êtes piqué, il faudra appliquer un médicament anti-poison au plus vite.

Le phasme peut aussi piquer les animaux domestiques (chien et chat) et faire du mal à votre enfant s’il est piqué. Il faut donc éviter de laisser votre enfant dans le jardin quand vous ne l’avez pas surveillé.